Nous souhaitions découvrir la cuisine mexicaine et faire vivre le petit resto de notre quartier de la Grive.
Quelle déception.....
Au départ le resto est vide et la serveuse nous accueille à la porte, le patron lui est allongé sur un canapé.
Le repas commence avec une serveuse pas franchement du métier mais souriante.
3 menus 30, 35 et 40âŹ, cocktail dans chacun, notre choix se porte sur celui Ă 30âŹ, soit cocktail, spĂ©cialitĂ© et dessert prĂ©cisant sourire de la serveuse offert.
Apéro sympa dans un ananas comme contenant, on se dit alors que la suite va nous plaire.
A la différence de se qu'on attendai copieux ( d'aprÚs le avis précédant qui nous ont mener jusqu'à cette adresse ) les assiettes ne sont pas franchement pleines mais suffisante pour nous rassasier
Arrivé au dessert la serveuse nous annonce que notre seul choix est une tarte au chocolat maison.
Nous demandons pour une glace (glace + tequilla ) mais, mĂȘme ça il n'y en a pas, alors qu'annoncĂ© sur la carte des dessert et compris dans ce menu Ă 30âŹ
Nous arrive alors une assiette ou l'on devine sous la chantilly en bombe, le bord d'une tarte.
Tarte au chocolat qui se rĂ©vĂšle ĂȘtre un fond de tarte tout prĂȘt agrĂ©mentĂ© de chocolat pĂątissier fondu + chantilly pas maison.
Au moment de payer, nous nous permettons de préciser que notre repas était appréciable jusqu'a l'arrivé du dessert et expliquons pourquoi.
Et la ......
Le patron nous interpelle du fond de sa cuisine, s'exclame que, c'est comme ca et nous nous faisons clairement engueuler.
Il souligne que les serveuses sont nouvelles (je ne vois pas le rapport avec la nourriture ) et que la France ne veut pas travailler, que les français ne prÎne que le RSA.
Que Si nous voulions des glaces, il fallait aller chez flunch ...
Il n'avait pas eu le temps de faire des dessert.
Je rappelle qu'en arrivant celui-ci était allongé sur son canapé et qu'il était 20h30......
La serveuse nous annonce qu'ils n'acceptent pas la cb, pas d'info en entrant, heureusement ils acceptent les chÚques et nous avons ça...ouf
Je regrette finalement de ne pas avoir repris mon chĂšque lorsque le patron en nous criant dessus, Ă dit que nous ne devions pas payer.
Il est malheureux que des gens qui n'ont pas d'amour pour ce beau métier de la restauration, ouvrent dans de petits quartier et abßme ainsi l'image des commerçant de proximité qui ont tant de mal à vivre.
Un peu d'humilité aurait suffit .. .